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La chaleur tue-t-elle le Coronavirus ?, on revient sur le sujet


Si depuis début mars dernier, soutenus par les forces vives de la Nation, les pouvoirs publics s’attèlent à coup de décisions sécuritaires et d’actions préventives, à maitriser sa progression en vue de la contenir, au regard des chiffres, 32 jours après l’annonce du premier cas, certaines hypothèses sur le coronavirus méritent d’être creusées. En effet, être vivant qui comme nous respire et cherche à survivre sur cette terre en tentant, pour ce qui le concerne, à pénétrer notre organisme via nos manies, le covid-19 pourrait bien suffoquer à l’air libre sous haute température. Pourquoi revenons-nous sur cette hypothèse, à cette heure non scientifiquement tranchée, de durée de vie limitée du Coronavirus sous nos tropiques ? Eh ben parce que les spécialistes livrent des éléments à travers des réponses à des interrogations ludiques basées, à titre d’exemple, sur les dangers de contamination via des achats de plats dans des restaurants.


Sous des cieux aux populations encore à cette heure confinées le temps que soit tranchées les solutions de déconfinement avec l’évidence d’assurance, pour leurs décideurs, d’un traitement qui ferait l’unanimité en ces heures de pertes de temps parfois par guerre d’égo ou d’intérêts, ces plats sont livrés, et ils sont, de fait, nombreux à se demander si risque il y a à les consommer. Les réponses sont unanimes, à l’image de celles du Docteur Damien Mascret qui intervient chez nos confrères de France 2, « non, si votre plat a été au préalable chauffé, vous ne risquez pas d’être contaminé par le covid-19.», sous-entendant clairement que le coronavirus et la chaleur ne sont, contrairement à l’irresponsabilité face aux mesures préventives, pas faits pour s’entendre. Plus d’un mois après, alors qu’un grand nombre de spécialistes tablaient sur des chiffres alarmant, le bilan ivoirien du covid-19 fait état de 574 cas confirmés dont 85 guéris et 5 décès. Un taux faible de contamination détectées par rapport au nombre de test effectués, inférieur à 30%, un taux de guérison à cette heure de 14% et un taux de décès de 0,87%. Nos températures sous le soleil (et non celles relevées à l’ombre pour les bulletins météo, ndlr) qui dépassent bien souvent les 45 degrés participent peut être à ce « frein saisonnier » ailleurs évoqué. A l'heure des nombreuses hypothèses sur ce nouveau virus, dont celle des anticorps que developpent les habitants d'Afrique subsaharienne, ici il y a peu de temps abordée, pas le choix dans l'immédiat que de matériellement barrer la route du Coronavirus à notre organisme en évitant de porter nos mains et/ou nos doigts à ses portes d'entrée, nos bouches et/ou nez. Amy Touré


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