Le général Djibrill Bassolé, ancien chef de la diplomatie de Blaise Compaoré a reconnu, au deuxième jour de sa comparution, avoir échangé avec le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, mais a dénoncé desécoutes Rechercher écoutes manipulées. Selon lui, il était régulièrement en contact avec des personnes vivant à l'étranger dont M. Soro. Ses échanges portaient essentiellement sur la situation que traversait le pays et sur la recherche de solution pour une sortie de crise. Les échanges qu'il a eu avec Le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, "n'ont rien à voir avec les écoutes" qui ont été largement diffusés sur les réseaux sociaux. L'un de ses avocats, Me Dieudonné Bonkoungou a également dénoncé un montage, et une manipulation de cesécoutes Rechercher écoutes qui n'ont "pas fait l'objet d'une interception classique ". " La conversation Bassolé- Soro, est pour nous, et on va le démontrer, un trucage", a-t-il déclaré. Pour Me Guy Hervé Kam, un des avocats de la partie civile, "nous avons été agréablement surpris que le général reconnaisse la plus part desécoutes Rechercher écoutes mais c'est la nature, le caractère de cesécoutes Rechercher écoutes qui ont été manipulées ou pas qui va faire l'objet de débats". Selon lui, même si le général dit ne pas reconnaître les écoutes, il y'a des propos très enrichissant qui figurent dans le dossier. "Je pense qu'on avance dans le bon sens", a-t-il estimé. L'audience a été suspendu et reprendra le 7 janvier, en raison des fêtes de fin d'année. Boa, Ouagadougou